«Sans l’AGORAé, on ne pourrait pas survivre»
L'Est-Eclair du 30/11.
Ils sont étudiants, boursiers ou non, étrangers aussi pour certains. Parce qu’ils n’arrivent plus à joindre les deux bouts, ils ont sauté le pas et font les démarches pour être bénéficiaires de l’épicerie sociale étudiante, dont les chiffres explosent depuis la rentrée.